Le secteur agtech du Grand Montréal au service de l’agriculture durable
Alors que le Québec s’est engagé à réduire de 37,5 % ses émissions de gaz à effet de serre (GES) sous le niveau de 1990 d’ici 2030, la communauté agtech du Grand Montréal met l’épaule à la roue et mise sur l’innovation pour diminuer l’empreinte carbone de l’agriculture.
C’est ce qu’on peut lire dans cet article publié en anglais sur le site Investment Monitor.
Les cibles provinciales en matière de réduction des GES sont ambitieuses, mais le Québec a plusieurs atouts stratégiques pour les atteindre, dont un écosystème bouillonnant en agrotechnologie. Leader de l’agriculture biologique au Canada avec 50 % de la production nationale, la province est aussi l’un des principaux pôles agtech du pays, avec plus de 220 organisations dont la plupart se trouvent dans le Grand Montréal. Agriculture de précision, agriculture verticale, agriculture intelligente, agrobiotechnologie, automatisation… le terrain de jeu est vaste pour améliorer les pratiques et décarboner le secteur.
D’ailleurs, la métropole est à l’avant-garde en matière d’agriculture à environnement contrôlé, avec des joueurs comme Savoura et Lufa Farms, qui produisent à l’année des denrées qui devraient être importées en l’absence d’une production locale. On y retrouve aussi la Zone Agtech, un important campus d’innovation en agriculture de pointe disposant d’un financement de plus de 400 M$.
Le secteur agtech du Grand Montréal profite également de la vigueur des écosystèmes de la métropole en technologies de l’information et en intelligence artificielle (IA) pour innover et bâtir l’agriculture de demain.
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